Dimanche 29 juillet 2012 D'une île à un continent
PUERTO-IGUAZU J1Une journée aéroportée en mode détour et retard...
De Martinique au Brésil
Eau, sel, sable et roches en 100% couleurs intenses un parcours passant par le sud du Brésil, le nord de l'Argentine, le sud de la Bolivie et le nord du Chili
Du Brésil à la Martinique
Jeudi 30 et vendredi 31 août 2012 D'un continent à une île
Hôtel le Massilia - 130 réals par Internet - OK+ www.massilia.com.br Caractéristiques Hôtel en coeur de ville Points + Les chambres, plutôt grandes, sont dans un patio autour d'un jardin et d'une petite piscine (pour les fans). un restaurant est disponible sur place. Le propriétaire est de Marseille donc parle français... Points - Cela peut être bruyant, jusque vers 21 heures, s'il y a beaucoup d'enfants dans la piscine !!!
INTRO/COMMENTAIRESJeudi 30 Lever à 3h45 douche, sacs et en bas. La très sympathique réceptionniste nous offre des bananes pour avoir quelque chose dans le ventre. Avant 5 heures, nous entrons dans l'aéroport contre 40 réals, cela roule très bien dans les rues presque totalement vides. Première pause petit déjeuner avec un grand jus orange et nos bananes. Le vol part à 6 heures, soit à l'heure et arrive à San Paulo à 7h30. Dans l'avion, il y a une famille française avec une petite fille très speed qui a animé tout le vol. Ils continueront également sur Belem. Pratiquement 3 heures d'attente à l'aéroport en mode fiévrouneuse et patatrak pour moi, j'ai même du mal à grignoter (ceux qui me connaissent savent à quel point c'est peu habituel) et le deuxième vol décolle à 10h55. L'avion se pose à Belem à 14h30. Les bagages sortent en quelques minutes et un taxi nous emporte vers hôtel 45 reals. Il y a un guichet central des taxis dans le hall, le prix de la course vous est indiqué, comme cela aucune surprise. La dépose devant l'hôtel se fait à 15h30. Cela a changé depuis notre dernier passage, le resto est dans la cour intérieure mais il devrait repartir vers l'extérieur dans les prochains mois. La chambre est au rez-de-chaussée au fond. Nous sommes fracassés donc ce sera repos et boissons à gogo car nous semblons déshydratés ! Nous avions choisi cet hôtel pour pouvoir aller aux Docks le soir. C'est un endroit que nous apprécions. Mais là, impossible de bouger donc le dîner se fera sur place. Le resto est mobilisé par un anniversaire donc le service se fera en chambre et sera longuet. Les plats de magret de canard et de poisson grillé sont copieux, presqu'un peu trop et également un peu trop riche à notre goût. Vers 23 heures, c'est dodo plouf. Vendredi 31 A 9h30, c'est départ vers le centre commercial le plus proche. C'est un peu tôt car il ouvre à 10h. Déception majeure, les précédentes fois j'y ai trouvé des chaussures et je suis revenue avec plusieurs paires. Là, les prix sont les mêmes que chez nous et aucun modèle ne me plaît. La mode est aux semelles épaisses et je déteste ! Le taxi vient nous prendre à l'hôtel à midi et comme à l'aller facture 40 reals. Arrivés vers 12h30 à l'aéroport, c'est enregistrement des bagages, achat d'un capybara en jarina ou tagua dans ma boutique préférée du hall et déjeuner au resto de l'aéroport d'un bon poisson de rivière accompagné de purée pour 97 réals. L'avion d'Air Caraïbes arrive avec 15 minutes retard soit à l'heure !!! Le départ se fait avec 15 minutes de retard et l'arrivée en Martinique avec 10, soit à 18h50, soit à l'heure !!! C'est un des derniers vols sur cette ligne puisqu'elle s'est arrêtée début septembre. Un taxi nous coute 50 euros pour rentrer à la maison. Au retour nous préférons nous débrouiller car bien souvent les avions sont en retard et désagréable de demander à quelqu'un de poireauter... Qui voilà derrière la grille du portail toute en miaulements d'accueil... Mademoiselle Choupetta. C'est la chanson de fin du voyage !!!
Deux journées aéroportées en mode fin du voyage...
Hôtel Ibis - 130 réals par Internet - OK+ www.ibishotel.com Caractéristiques Hôtel d'affaires offrant gîte et couverts. Points + A 5 minutes de l'aéroport en taxi, chambre équipée comme dans n'importe quel Ibis, y compris avec les décors à base de tulipes. Points - Impossible d'ouvrir la fenêtre, donc obligé d'être ventilé par la climatisation, réglable individuellement heureusement.
En route pour 34 jours d'aventure, de découvertes, de détente, d'éblouissement… Un bisou à Choupetta, un trousseau de clefs remis à l'amie ayant accepté de prendre en charge la maison et à 8 heures du matin nous partons en direction de l'aéroport. Une bonne surprise à l'enregistrement, les sacs pèsent aux alentours de 17 kilos, donc sont moins lourds que craint (il n'y a aucune grande balance dans nos placards). Malheureusement, il y en a aussi une mauvaise, l'avion a un problème et il y a peu de chances qu'il soit à l'heure et parte à 9h… Le groupe de voyageurs à destination de Cayenne et Belém, attend et attend et attend pour apprendre, vers 10h15, que tous ceux en partance pour le Brésil et une partie des autres vont aller en Guadeloupe prendre un avion prévu à 12h30. Départ pour le vol imprévu à 10h50, arrivée à Pointe-à-Pitre à 11h30 et re-salle d'attente sans que rien ne soit préparé pour une pause déjeuner. Donc, tout le monde passe par les cases distributeurs ou buvette. A 12h40, soit avec environ 3 heures de retard l'avion s'envole pour le continent sud-américain et il arrive à Cayenne à 16h05 heure locale. Certains sortent, d'autres montent et l'avion décolle à 16h50 et nous pose au Brésil à 18h05. La douane est un peu longuette et nous conscientisons que personne ne nous a demandé les preuves de notre vaccination anti fièvre jaune. Il y a 2 ans sans le carnet/preuve il aurait été impossible de sortir de l'aéroport. Bien évidemment aucune excuse probante d'Air Caraïbes pendant cette demi-journée perdue, même si le personnel de l'avion présente les siennes et aucune excuse à posteriori. Certains louperont leurs correspondances. Comme nous pratiquons Air Caraïbes depuis des années, nous avions anticipé cette possibilité en choisissant de passer la nuit à Belem, bonne idée !!! Un taxi et en 5 minutes plus 20 réals nous sommes dans le hall de l'Ibis. Premier constat les tulipes rouges emblème de la chaîne sont présentes sur les murs. L'avantage premier de cet hôtel tient dans sa proximité avec l'aéroport. En envisageant cette soirée, nous avions prévu d'aller aux docks manger du picaruru, un poisson dont je suis fan.. Mais vu l'heure, ce sera restaurant de l'hôtel et une addition à 60 réals pour un bœuf spaghetti pour l'un et un poisson du fleuve avec du riz pour l'autre accompagné de bière Bohemia. La cuisine est correcte sans être marquante. C'est le genre de repas dont nous nous disons que sa fonction a été remplie puisque nous avons mangé. Vers 23 heures nous fermons les yeux pour une très courte nuit. J'ai du mal à dormir car la fenêtre est bloquée et la chambre manque d'air frais. Je déteste ces chambres où le client ets obligé de subir une climatisation ou de manquer d'air.
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